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Avant Posos, les bilans de médication me paraissaient insurmontables : trop difficiles à faire, trop chronophages

Avant Posos, les bilans de médication me paraissaient insurmontables : trop difficiles à faire, trop chronophages

Les bilans partagés de médication (BPM), entretiens réalisés dans le cadre des nouvelles missions du pharmacien et réel enjeu d’accompagnement de la bonne santé de la population, peuvent constituer un défi en termes de temps et de complexité de mise en œuvre. La Dr Elif SENOL nous explique comment Posos l’a aidé à organiser et réaliser cette mission en toute simplicité, lui permettant à la fois de renforcer la qualité des soins proposés et la rentabilité de son officine tout en valorisant l’expertise du pharmacien.

Sommaire

Réalisiez-vous des Bilans Partagés de Médication (BPM) avant Posos ?

Pas du tout, cela me paraissait insurmontable ! Trop difficile à faire, trop de temps… donc je ne m’y suis pas aventurée.

Comment le module BPM de Posos à changé votre pratique ?

Tout est facile maintenant : je n’ai pas à ouvrir le Dorosz ou le Vidal pour vérifier les interactions avec mon logiciel de gestion officinal.

Avec Posos, on voit les interactions, les équivalents, on peut substituer —on voit tout et on a besoin que d’un module. Ça me prend évidemment toujours du temps mais avec Posos c’est très ludique.

Comment la mise en place du BPM s’est intégrée à votre organisation ?

Je m’en occupe en général entre midi et deux, quand je suis au calme, ce qui m’évite d’être interrompue pour aller au comptoir. Cela fait partie de mes moments à moi, je reste maintenant une à deux fois par semaine à la pharmacie pour passer mes commandes et pour préparer mes BPM.

Avez-vous également mis en place cette démarche de réalisation de BPM auprès d’un EHPAD ?

La plupart des patients dont je m’occupe en EHPAD sont polymédiqués, j’ai donc mis en place le BPM pour la quasi-totalité. Cela s’est fait assez rapidement, de même que la communication avec le médecin coordonnateur qui, même s’il n’était pas sur place, était facilement joignable par téléphone pour valider mes interventions.

Quelles différences avez vous constaté dans la détection des problèmes de médication chez vos patients en EHPAD ?

En EHPAD, j’ai surtout eu l’occasion de supprimer des lignes ! Il y avait assez peu de contre-indications finalement.

C’est principalement chez les patients de ville que j’ai vu des incohérences, qui s’expliquaient par leurs passages entre la ville (leur médecin généraliste) et l’hôpital. Par exemple, j’ai dernièrement fait supprimer deux médicaments anti-hypertenseurs sur trois chez une patiente, et je vois que sa nouvelle prescription respecte l’intervention.

Avez-vous constaté une amélioration de la rentabilité de l’officine avec les BPM ?

Oui, forcément ! Le bilan prend moins de temps à réaliser pour les patients en EPHAD, augmentant d’autant plus leur rentabilité, mais je prévois tout de même d’élargir la pratique pour nos patients en ville, deux à trois fois par semaine.

Finalement, comment suggérez-vous la mise en place d’un BPM pour vos patients ?

Je les préviens que j’ai jeté un coup d’oeil à leurs prescriptions, que j’ai noté des choses qui allaient et des choses qui n’allaient pas, s’il y en a, et je leur propose qu’on fasse un point ensemble puis, s’ils sont partants, qu’on parle au médecin des potentielles modifications à faire. Il y a assez peu de médecins près de chez nous, cela facilite des choses, on les connait bien.

Si, comme la Dr Elif SENOL, vous souhaitez commencer simplement les bilans partagés de médication, n’hésitez pas à nous contacter pour tester l’outil : https://www.posos.co/offres/pharmacies-dofficine

Zoé Vilan
Senior Brand and Content Manager

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