Glycopyrronium (bromure) 46 µg/dose + indacatérol (acétate) 114 µg/dose + mométasone furoate 136 µg/dose poudre pour inhalation en gélule
Informations générales
Substances
Forme galénique
Poudre pour inhalation en gélule
Voie d'administration
Voie inhalée
Source : ANSM
Posologie
<u>Posologie </u>
La dose recommandée est l'inhalation du contenu d'une gélule une fois par jour.
La dose maximale recommandée est de 114 mcg/46 mcg/136 mcg une fois par jour.
Il est recommandé d'administrer le traitement à la même heure de la journée chaque jour. Il peut être administré à n'importe quel moment de la journée. En cas d'omission d'une dose, celle-ci doit être prise dès que possible. Les patients doivent être avertis qu'ils ne doivent pas prendre plus d'une dose par jour.
<i><u>Populations particulières </u></i>
<i>Sujets âgés </i>
Il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie chez les sujets âgés (65 ans et plus) (voir rubrique 5.2).
<i>Insuffisance rénale </i>
Il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie chez les patients présentant une insuffisance rénale légère à modérée. Des précautions doivent être observées en cas d'insuffisance rénale sévère ou en phase terminale nécessitant une dialyse (voir rubriques 4.4 et 5.2).
<i>Insuffisance hépatique </i>
Il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère ou modérée. Il n'existe pas de données concernant l'utilisation du médicament chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère, par conséquent il doit être utilisé chez ces patients seulement si les bénéfices attendus sont supérieurs aux risques potentiels (voir rubrique 5.2).
<i>Population pédiatrique </i>
La sécurité et l'efficacité d'Enerzair Breezhaler chez les enfants de moins de 18 ans n'ont pas été établies. Aucune donnée n'est disponible.
<u>Mode d'administration </u>
Voie inhalée uniquement. Les gélules ne doivent pas être avalées.
Les gélules doivent être exclusivement administrées à l'aide de l'inhalateur fourni à chaque nouvelle prescription (voir rubrique 6.6).
Les patients doivent recevoir les instructions adaptées pour une administration correcte du médicament. En cas de non-amélioration des symptômes respiratoires, il convient de vérifier que le patient n'avale pas le médicament au lieu de l'inhaler.
Les gélules ne doivent être sorties de la plaquette qu'immédiatement avant utilisation.
Après inhalation, les patients doivent se rincer la bouche avec de l'eau sans l'avaler (voir rubriques 4.4 et 6.6).
Pour les instructions concernant l'utilisation du médicament avant administration, voir la rubrique 6.6.
<i><u>Informations pour les patients utilisant un capteur pour Enerzair Breezhaler </u></i>
La boîte peut contenir un capteur électronique à fixer sur la base de l'inhalateur.
Le capteur et l'application qui lui est reliée ne sont pas nécessaires à l'administration du médicament au patient. Le capteur et l'application ne contrôlent pas et n'interfèrent pas avec la délivrance du médicament au moyen de l'inhalateur.
Le médecin prescripteur s'entretiendra avec le patient pour déterminer si l'utilisation du capteur et de l'application est justifiée.
Pour des instructions détaillées sur la façon d'utiliser le capteur et l'application, voir les instructions de manipulation contenues dans la boîte du capteur et dans l'application.
Source : EMA
Interactions
bêta-2 mimétiques <> halothaneAssociation DECONSEILLEE
corticoïdes métabolisés, notamment inhalés <> inhibiteurs puissants du CYP3A4Association DECONSEILLEE
bêta-2 mimétiques <> insulinePrécaution d'Emploi
bêta-2 mimétiques <> sulfamides hypoglycémiantsPrécaution d'Emploi
bêta-2 mimétiques <> bêta-bloquants non cardio-sélectifs (y compris collyres)A prendre en compte
médicaments atropiniques <> anticholinestérasiquesA prendre en compte
médicaments atropiniques <> autres médicaments atropiniquesA prendre en compte
médicaments atropiniques <> morphiniquesA prendre en compte
Source : Thesaurus
Fertilité, grossesse et allaitement
Les données concernant l'utilisation d'Enerzair Breezhaler ou de ses composants individuels (indacatéerol, glycopyrronium et furoate de mométasone) chez la femme enceinte sont insuffisantes pour déterminer s'il existe un risque.
L'indacatérol et le glycopyrronium n'ont pas été tératogènes chez le rat et le lapin après administration respectivement par voie sous-cutanée ou par voie inhalée (voir rubrique 5.3). Dans les études de reproduction chez des souris, des rates et des lapines gravides, le furoate de mométasone a augmenté les malformations fœtales et diminué la survie et la croissance des fœtus.
Comme les autres médicaments contenant des agonistes bêta-2-adrénergiques, l'indacatérol peut inhiber le travail au moment de l'accouchement par effet relaxant sur le muscle lisse utérin.
Ce médicament ne doit être utilisé durant la grossesse que si le bénéfice attendu pour la patiente justifie le risque potentiel pour le fœtus.
Allaitement
Il n'existe pas de données disponibles sur la présence de l'indacatérol, du glycopyrronium ou du furoate de mométasone dans le lait maternel, ni sur les effets sur le nourrisson allaité ou les effets sur la production de lait. D'autres corticoïdes inhalés similaires au furoate de mométasone passent dans le lait maternel. L'indacatérol, le glycopyrronium et le furoate de mométasone ont été détectés dans le lait de rates allaitantes. Le glycopyrronium a atteint des concentrations jusqu'à 10 fois plus élevées dans le lait des rates allaitantes que dans le sang des mères après administration intraveineuse.
Une décision doit être prise soit d'interrompre l'allaitement soit d'interrompre/de s'abstenir du traitement, en prenant en compte le bénéfice de l'allaitement pour l'enfant au regard du bénéfice du traitement pour la femme.
Fertilité
Les études de reproduction et les autres données chez l'animal n'indiquent pas d'effet indésirable sur la fertilité chez les mâles ou les femelles.
Source : EMA
Propriétés pharmacologiques
Mécanisme d'action
Ce médicament est une association d'indacatérol, un bêta-2-agoniste de longue durée d'action (LABA), de glycopyrronium, un antagoniste des récepteurs muscariniques de longue durée d'action (LAMA), et de furoate de mométasone, un corticoïde de synthèse inhalé (CSI).
Indacatérol
Les effets pharmacologiques des bêta-2-agonistes, incluant l'indacatérol, sont liés au moins en partie à | |
l'augmentation des taux d'adénosine monophosphate-3',5' cyclique (AMP cyclique), qui entraîne une | |
relaxation du muscle lisse bronchique. |
Lorsqu'il est inhalé, l'indacatérol exerce localement dans les poumons un effet bronchodilatateur. | ||
L'indacatérol est un agoniste partiel des récepteurs bêta-2-adrénergiques humains ayant un niveau | ||
d'activité nanomolaire. Dans les bronches humaines isolées, l'indacatérol a un délai d'action rapide et | ||
une longue durée d'action. |
Bien que les récepteurs bêta-2-adrénergiques soient les récepteurs adrénergiques prédominants dans le | ||
muscle lisse bronchique et que les récepteurs bêta-1-adrénergiques soient prédominants dans le muscle | ||
cardiaque, il existe également des récepteurs bêta-2-adrénergiques dans le cœur humain, qui | ||
représentent 10 à 50 % de tous les récepteurs adrénergiques. |
Glycopyrronium
Le glycopyrronium agit en inhibant l'effet bronchoconstricteur de l'acétylcholine dans les cellules des muscles lisses des voies aériennes, ce qui entraîne leur dilatation. Le bromure de glycopyrronium est un antagoniste des récepteurs muscariniques de haute affinité. Des études de liaison par radioligand ont mis en évidence une sélectivité 4 à 5 fois plus élevée pour les récepteurs M3 et M1 humains que
pour les récepteurs M2 humains. Son délai d'action est rapide, selon les valeurs des constantes | ||
d'association et de dissociation aux récepteurs et le délai d'action après une inhalation, observés dans | ||
les études cliniques. La longue durée d'action peut être attribuée en partie à la persistance des taux de | ||
substance active dans les poumons, comme en témoigne la demi-vie d'élimination terminale du | ||
glycopyrronium qui apparaît prolongée après une inhalation avec l'inhalateur, par rapport à une | ||
administration par voie intraveineuse (voir rubrique 5.2). |
Furoate de mométasone
Le furoate de mométasone est un corticoïde de synthèse ayant une affinité élevée pour les récepteurs des glucocorticoïdes et des propriétés anti-inflammatoires locales. In vitro, le furoate de mométasone inhibe la libération des leucotriènes par les leucocytes de patients allergiques. Sur culture cellulaire, le furoate de mométasone exerce une puissante inhibition de la synthèse et de la libération d'IL-1, IL-5, IL-6 et de TNF-alpha. Il exerce également une puissante inhibition de la production de leucotriènes et de cytokines Th2, IL-4 et IL-5, par les lymphocytes T CD4+ humains.
Effets pharmacodynamiques
Le profil de réponse pharmacodynamique de ce médicament est caractérisé par un délai d'action rapide, dans les 5 minutes suivant l'administration et un effet maintenu sur l'intervalle de 24 h entre les doses.
Le profil de réponse pharmacodynamique est par ailleurs caractérisé par une augmentation moyenne du volume expiratoire maximum par seconde (VEMS) de 172 ml après l'inhalation d'indacatérol/glycopyrronium/furoate de mométasone 114 mcg/46 mcg/136 mcg une fois par jour comparé au salmétérol/fluticasone 50 mcg/500 mcg deux fois par jour.
Il n'a pas été observé de signes évoquant un échappement thérapeutique sur la fonction pulmonaire avec Enerzair Breezhaler au cours du temps.
Intervalle QTc
L'effet de ce médicament sur l'intervalle QTc n'a pas été évalué dans une étude approfondie de l'intervalle QT (TQT). Concernant le furoate de mométasone, aucune propriété d'allongement de l'intervalle QTc n'est connue.
Efficacité et sécurité cliniques
Comparaison d'Enerzair Breezhaler aux associations fixes de LABA/CSI
La sécurité d'emploi et l'efficacité d'Enerzair Breezhaler chez des patients adultes présentant un asthme persistant ont été évaluées dans l'étude de phase III randomisée, en double aveugle (IRIDIUM). L'étude IRIDIUM était une étude de 52 semaines évaluant Enerzair Breezhaler
114 mcg/46 mcg/68 mcg une fois par jour (N = 620) et 114 mcg/46 mcg/136 mcg une fois par jour (N = 619) comparé à l'indacatérol/furoate de mométasone respectivement 125 mcg/127,5 mcg une fois par jour (N = 617) et 125 mcg/260 mcg une fois par jour (N = 618). Un troisième bras contrôle actif a inclus des patients traités par le salmétérol/propionate de fluticasone 50 mcg/500 mcg deux fois par jour (N = 618). Tous les patients devaient présenter un asthme symptomatique (score ACQ-7 ≥ 1,5) et ils recevaient un traitement associant un corticoïde de synthèse par voie inhalée (CSI) à dose moyenne ou forte et un LABA depuis au moins 3 mois avant l'inclusion dans l'étude. L'âge moyen était de 52,2 ans. Lors de la sélection, 99,9 % des patients rapportaient un antécédent d'exacerbation au cours de l'année précédente. Lors de l'inclusion dans l'étude, les traitements de l'asthme les plus fréquemment rapportés étaient un CSI à dose moyenne en association avec un LABA (62,6 %) et un CSI à dose forte en association avec un LABA (36,7 %).
L'objectif principal de l'étude était de démontrer la supériorité soit d'Enerzair Breezhaler
114 mcg/46 mcg/68 mcg une fois par jour sur l'indacatérol/furoate de mométasone
125 mcg/127,5 mcg une fois par jour soit d'Enerzair Breezhaler 114 mcg/46 mcg/136 mcg une fois par jour sur l'indacatérol/furoate de mométasone 125 mcg/260 mcg une fois par jour en termes de VEMS résiduel à la semaine 26.
Enerzair Breezhaler 114 mcg/46 mcg/136 mcg une fois par jour a montré des améliorations statistiquement significatives du VEMS résiduel à la semaine 26 comparé à l'indacatérol/furoate de mométasone à la dose correspondante. Des améliorations cliniquement significatives de la fonction respiratoire (variation du VEMS résiduel à la semaine 26 par rapport à l'inclusion, débit expiratoire de pointe matinal et du soir) ont également été observées comparé au salmétérol/propionate de fluticasone 50 mcg/500 mcg deux fois par jour. Les observations à la semaine 52 étaient cohérentes avec celles de la semaine 26 (voir Tableau 2).
Tous les groupes de traitement ont montré des améliorations cliniquement significative du score ACQ-7 à la semaine 26 par rapport à l'inclusion, en revanche, il n'a pas été observé de différences statistiquement significatives entre les groupes. La variation moyenne du score ACQ-7 à la semaine 26 (critère principal d'évaluation secondaire) et à la semaine 52 par rapport à l'inclusion a été
d'environ -1 dans tous les groupes de traitement. Les taux de réponse ACQ-7 (la réponse étant définie comme une diminution du score ≥ 0,5) à différents temps d'évaluations sont décrits dans le Tableau 2.
Les exacerbations étaient un critère d'évaluation secondaire (ne faisant pas partie de la stratégie de test confirmatoire). Enerzair Breezhaler 114 mcg/46 mcg/136 mcg une fois par jour a montré une réduction du taux annuel d'exacerbations comparé au salmétérol/propionate de fluticasone
50 mcg/500 mcg deux fois par jour et à l'indacatérol/furoate de mométasone 125 mcg/260 mcg une fois par jour (voir Tableau 2).
Les résultats des critères d'évaluation les plus cliniquement pertinents sont décrits dans le Tableau 2.
Tableau 2 Résultats des critères d'évaluation principal et secondaires de l'étude IRIDIUM aux semaines 26 et 52
Critère d'évaluation |
Temps d'évaluation/ Durée |
Enerzair Breezhaler1 versus IND/MF2 |
Enerzair Breezhaler1 versus SAL/FP3 |
Fonction respiratoire | |||
VEMS résiduel4 | |||
Différence entre les traitements Valeur de p (IC à 95 %) |
Semaine 26 (critère d'évaluation principal) |
65 ml < 0,001 (31 ; 99) |
119 ml < 0,001 (85 ; 154) |
Semaine 52 | 86 ml < 0,001 (51 ; 120) |
145 ml < 0,001 (111 ; 180) |
|
Débit expiratoire de pointe (DEP) moyen matinal | |||
Différence entre les traitements (IC à 95 %) |
Semaine 52* | 18,7 l/min (13,4 ; 24,1) |
34,8 l/min (29,5 ; 40,1) |
Débit expiratoire de pointe (DEP) moyen du soir | |||
Différence entre les traitements (IC à 95 %) |
Semaine 52* | 17,5 l/min (12,3 ; 22,8) |
29,5 l/min (24,2 ; 34,7) |
Symptômes | |||
Répondeurs ACQ (pourcentage de patients obtenant une différence minimale cliniquement significative (DMCS) par rapport à l'inclusion avec un score ACQ ≥ 0,5) |
|||
Pourcentage | Semaine 4 | 66 % versus 63 % | 66 % versus 53 % |
Odds ratio (IC à 95 %) |
1,21 (0,94 ; 1,54) |
1,72 (1,35 ; 2,20) |
|
Pourcentage | Semaine 12 | 68 % versus 67 % | 68 % versus 61 % |
Odds ratio (IC à 95 %) |
1,11 (0,86 ; 1,42) |
1,35 (1,05 ; 1,73) |
|
Pourcentage | Semaine 26 | 71 % versus 74 % | 71 % versus 67 % |
Odds ratio (IC à 95 %) |
0,92 (0,70 ; 1,20) |
1,21 (0,93 ; 1,57) |
|
Pourcentage | Semaine 52 | 79 % versus 78 % | 79 % versus 73 % |
Odds ratio (IC à 95 %) |
1,10 (0,83 ; 1,47) |
1,41 (1,06 ; 1,86) |
|
Taux annuel d'exacerbations de l'asthme | |||
Exacerbations modérées ou sévères | |||
AR | Semaine 52 | 0,46 versus 0,54 | 0,46 versus 0,72 |
RR** (IC à 95 %) |
Semaine 52 | 0,85 (0,68 ; 1,04) |
0,64 (0,52 ; 0,78) |
Exacerbations sévères | |||
AR | Semaine 52 | 0,26 versus 0,33 | 0,26 versus 0,45 |
RR** (IC à 95 %) |
Semaine 52 | 0,78 (0,61 ; 1,00) |
0,58 (0,45 ; 0,73) |
* Valeur moyenne pour la durée du traitement. ** RR < 1,00 en faveur de l'indacatérol/glycopyrronium/furoate de mométasone. 1 Enerzair Breezhaler ; 114 mcg/46 mcg/136 mcg od. 2 IND/MF : indacatérol/furoate de mométasone ; dose forte : 125 mcg/260 mcg od. La dose de furoate de mométasone 136 mcg dans Enerzair Breezhaler est comparable à la dose de furoate de mométasone 260 mcg dans l'indacatérol/furoate de mométasone. 3 SAL/FP : salmétérol/propionate de fluticasone ; dose forte : 50 mcg/500 mcg bid (dose nominale). 4 VEMS résiduel : la moyenne de deux valeurs du VEMS mesuré à 23 heures 15 min et 23 heures 45 min après la dose du soir. Le critère d'évaluation principal (VEMS résiduel à 26 semaines) et le critère secondaire majeur (score ACQ- 7 à la semaine 26) faisaient partie de la stratégie de test confirmatoire et ainsi étaient contrôlés pour multiplicité. Les autres critères ne faisaient pas partie de la stratégie de test confirmatoire. RR = rapport des taux ; AR = taux annuel od = une fois par jour ; bid = deux fois par jour |
Comparaison en ouvert d'Enerzair Breezhaler à l'administration concomitante de salmétéro/fluticasone + tiotropium
Une étude (ARGON) de non-infériorité, randomisée, contrôlée versus traitement actif, partiellement en aveugle a été menée. Elle a comparé l'administration d'Enerzair Breezhaler
114 mcg/46 mcg/136 mcg une fois par jour (N=476) et 114 mcg/46 mcg/68 mcg une fois par jour (N=474) à l'administration concomitante de salmétérol/propionate de fluticasone 50 mcg/500 mcg deux fois par jour + tiotropium 5 mcg une fois par jour (N=475) sur une période de 24 semaines de traitement.
Enerzair Breezhaler a démontré une non-infériorité par rapport au salmétérol/fluticasone + tiotropium sur le critère principal (modification par rapport à l'inclusion du questionnaire de qualité de vie de l'asthme [AQLQ-S]), chez des patients précédemment symptomatiques traités par CSI et LABA avec une différence de 0,073 (limite de confiance unilatérale inférieure de 97,5% : -0,027).
Population pédiatrique
L'Agence européenne des médicaments a différé l'obligation de soumettre les résultats d'études réalisées avec l'indacatérol/glycopyrronium/furoate de mométasone dans un ou plusieurs sous-groupes de la population pédiatrique dans l'asthme (voir rubrique 4.2 pour les informations concernant l'usage pédiatrique).
Source : EMA
Liste des spécialités disponibles
- Commercialisé
ENERZAIR BREEZHALER 114 microgrammes / 46 microgrammes / 136 microgrammes, poudre pour inhalation en gélule
Source : BDPM
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