Fluocinolone acétonide 190 µg implant intravitréen avec applicateur
Informations générales
Substance
Forme galénique
Implant
Voie d'administration
Voie intravitréenne
Source : ANSM
Posologie
Posologie
La dose recommandée est un implant d'ILUVIEN dans l'œil atteint. L'administration simultanée dans les deux yeux n'est pas recommandée (voir rubrique 4.4).
Chaque implant ILUVIEN libère de l'acétonide de fluocinolone pendant une durée allant jusqu'à 36 mois.
Œdème Maculaire Diabétique
Un autre implant peut être administré après 12 mois si le patient présente une perte d'acuité visuelle ou une augmentation de l'épaisseur rétinienne secondaire à une récidive ou à une aggravation de l'œdème maculaire diabétique (voir rubrique 5.1).
Un retraitement par ILUVIEN ne doit être envisagé que si les bénéfices potentiels sont supérieurs aux risques.
Le traitement par ILUVIEN est réservé aux patients présentant une réponse insuffisante à un traitement antérieur par photocoagulation au laser ou aux autres traitements disponibles pour l'œdème maculaire diabétique.
Uvéite non infectieuse touchant le segment postérieur
Aucune donnée n'est disponible en faveur du retraitement de patients avec un implant supplémentaire dans le cadre de la prévention de rechute de l'uvéite non infectieuse récidivante affectant le segment postérieur de l'œil.
Population pédiatrique
Il n'y a pas d'utilisation justifiée de l'acétonide de fluocinolone administré par voie intravitréenne dans la population pédiatrique dans l'indication d'œdème maculaire diabétique (OMD).
La sécurité et l'efficacité n'ont pas été établies pour l'indication uvéite dans la population pédiatrique.
Populations particulières
Aucune adaptation posologique n'est nécessaire chez les patients âgés ou chez les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique.
Mode d'administration
VOIE INTRAVITREENNE UNIQUEMENT.
ILUVIEN ne doit être administré que par voie intravitréenne et par un ophtalmologiste expérimenté dans les injections intravitréennes.
La procédure d'injection intravitréenne doit être réalisée en conditions d'asepsie contrôlées, incluant le port de gants stériles, l'utilisation d'un champ stérile et d'un blépharostat (ou équivalent) stérile. Une anesthésie adéquate et une antisepsie antibactérienne à large spectre doivent être administrées avant l'injection.
La procédure d'injection d'ILUVIEN est la suivante :
-
Un collyre antibiotique peut être administré avant l'intervention à l'appréciation de l'ophtalmologiste traitant.
-
Juste avant l'injection, instiller une goutte d'anesthésique local sur le site d'injection (le quadrant temporal inférieur est recommandé), suivie de l'application d'un coton‑tige imbibé d'anesthésique ou d'une injection sous‑conjonctivale d'un anesthésique approprié.
-
Instiller 2 ou 3 gouttes d'un antiseptique local approprié dans le cul‑de‑sac conjonctival. Les paupières peuvent être nettoyées avec des cotons-tiges imbibés d'un antiseptique local approprié. Placer un blépharostat stérile. Demander au patient de regarder vers le haut et appliquer un coton‑tige imbibé d'un antiseptique approprié sur le site d'injection. Laisser l'antiseptique local sécher pendant 30 à 60 secondes avant l'injection d'ILUVIEN.
-
L'extérieur de la plaquette thermoformée ne doit pas être considéré comme stérile. Une assistant(e) (en conditions non stériles) doit sortir la plaquette thermoformée de la boîte puis examiner la plaquette et le film pour vérifier l'absence de dommage. En cas de dommage, ne pas utiliser l'unité.
Si l'unité peut être utilisée, l'assistant(e) doit retirer le film de la plaquette sans toucher la surface intérieure.
-
Vérifier par la fenêtre de visualisation de l'applicateur préchargé que celui‑ci contient bien l'implant.
-
En portant des gants stériles, retirer l'applicateur de la plaquette thermoformée en ne touchant que la surface stérile et l'applicateur.
Le capuchon de protection de l'aiguille ne doit être retiré que lorsque l'implant ILUVIEN est prêt à être injecté.
Avant l'injection, l'embout de l'applicateur doit être maintenu incliné pour garantir que l'implant est positionné correctement dans l'applicateur.
-
La procédure d'injection doit être effectuée en deux étapes pour limiter la quantité d'air administrée avec l'implant. Avant d'insérer l'aiguille dans l'œil, appuyer sur le bouton et le faire glisser jusqu'au premier arrêt (au niveau des repères noirs incurvés le long de la glissière du bouton). Au premier arrêt, relâcher le bouton, il passera en position UP (HAUT). Si le bouton ne passe pas en position UP, ne pas continuer à utiliser cette unité.
-
Le positionnement optimal de l'implant est la région située sous la papille optique et à l'arrière de l'équateur de l'œil. A l'aide d'un compas, mesurer une distance de 4 mm à partir du limbe dans le quadrant temporal inférieur.
-
Retirer avec précaution le capuchon de protection de l'aiguille et vérifier que la pointe de l'aiguille n'est pas courbée.
-
Déplacer doucement la conjonctive de façon à ce que, après le retrait de l'aiguille, les sites d'insertion conjonctival et scléral de l'aiguille ne soient pas alignés. Prendre des précautions pour éviter tout contact entre l'aiguille et le bord de la paupière ou les cils. Insérer l'aiguille dans l'œil. Pour libérer l'implant, le bouton étant en position UP, faire glisser le bouton vers l'avant jusqu'à l'extrémité de sa glissière et retirer l'aiguille. Remarque : vérifier que le bouton a atteint l'extrémité de la glissière avant de retirer l'aiguille.
-
Retirer le blépharostat et vérifier par ophtalmoscopie indirecte le positionnement de l'implant, la perfusion correcte de l'artère rétinienne et l'absence de toute autre complication. La visualisation de l'implant peut être facilitée en appuyant sur la sclérotique. L'examen doit inclure un contrôle de la perfusion de la tête du nerf optique immédiatement après l'injection. Une mesure immédiate de la pression intraoculaire (PIO) peut être effectuée à l'appréciation de l'ophtalmologiste.
Après l'intervention, les patients doivent être surveillés pour détecter des complications éventuelles telles qu'endophtalmie, augmentation de la pression intraoculaire, décollement de la rétine hémorragies ou décollements vitréens et hypotonie oculaire (observée jusqu'à 8 jours après la fin du traitement). Une biomicroscopie avec tonométrie doit être réalisée dans les deux à sept jours suivant l'injection de l'implant.
Compte tenu de la durée de libération de l'acétonide de fluocinolone (environ 36 mois), il est recommandé de poursuivre ces contrôles au moins une fois par trimestre afin de détecter l'apparition d'éventuelles complications (voir rubrique 4.4).
Source : BDPM
Contre-indications
Glaucome, antécédent
Infection oculaire
Infection oculaire suspectée
Infection périoculaire
ou suspectéeKératite herpétique
Uvéite
uvéite infectieuse
Source : ANSM
Fertilité, grossesse et allaitement
Grossesse
Les données sur l'utilisation de l'acétonide de fluocinolone administré par voie intravitréenne chez la femme enceinte sont limitées. Les études effectuées chez l'animal sont insuffisantes pour permettre de conclure sur la toxicité sur la reproduction de l'acétonide de fluocinolone administré par voie intravitréenne (voir rubrique 5.3). Bien que l'acétonide de fluocinolone soit indétectable dans la circulation générale après un traitement intraoculaire local, la fluocinolone est néanmoins un corticoïde puissant et même de très faibles niveaux d'exposition systémique peuvent présenter un certain risque pour le fœtus en développement. Par mesure de précaution, il est préférable d'éviter l'utilisation d'ILUVIEN pendant la grossesse.
Allaitement
L'acétonide de fluocinolone administré par voie systémique est excrété dans le lait maternel. Même si l'exposition systémique de la femme qui allaite à l'acétonide de fluocinolone administré par voie intravitréenne devrait être très faible, une décision doit être prise soit d'interrompre l'allaitement soit de s'abstenir du traitement avec ILUVIEN en prenant en compte le bénéfice de l'allaitement pour l'enfant au regard du bénéfice du traitement pour la femme.
Fertilité
Il n'existe pas de données concernant l'effet d'ILUVIEN sur la fertilité. Cependant, des effets sur la fertilité masculine ou féminine sont peu probables dans la mesure où l'exposition systémique à l'acétonide de fluocinolone est très faible après administration par voie intravitréenne.
Source : BDPM
Propriétés pharmacologiques
Classe pharmacothérapeutique : Anti‑inflammatoires, corticoïdes, non associés, code ATC : S01BA15
Les corticoïdes inhibent la réponse inflammatoire à différents agents déclenchants. Ils inhibent la formation d'œdème, le dépôt de fibrine, la dilation capillaire, la migration leucocytaire, la prolifération capillaire, la prolifération des fibroblastes, le dépôt de collagène et la formation de cicatrices fibreuses associés à l'inflammation.
Les corticoïdes agiraient par induction des protéines inhibitrices de la phospholipase A, appelées lipocortines. On suppose que ces protéines contrôlent la biosynthèse des médiateurs puissants de l'inflammation tels que les prostaglandines et les leucotriènes en inhibant la libération de leur précurseur commun, l'acide arachidonique. L'acide arachidonique est libéré des phospholipides membranaires par la phospholipase A2. Il a également été démontré que les corticoïdes diminuent les taux de facteur de croissance de l'endothélium vasculaire (VEGF), une protéine qui augmente la perméabilité vasculaire et provoque l'œdème.
Œdème Maculaire Diabétique
L'efficacité d'ILUVIEN a été évaluée dans deux études multicentriques randomisées en double aveugle, en groupes parallèles, menées chez des patients présentant un œdème maculaire diabétique et ayant antérieurement reçu au moins un traitement par photocoagulation au laser. La durée de suivi était de trois ans pour chaque patient. Au total, 74,4 % des patients ont reçu 1 implant, 21,6 % ont reçu 2 implants, 3,5 % ont reçu 3 implants, 0,5 % ont reçu 4 implants et aucun patient n'a reçu plus de 4 implants. Dans les deux études, le critère principal d'évaluation de l'efficacité était le pourcentage de patients ayant obtenu un gain d'acuité visuelle d'au moins 15 lettres après 24 mois. Dans chacune de ces études, le critère principal a été atteint pour ILUVIEN (voir Figure 1 pour les résultats combinés du critère d'efficacité principal).
Figure 1. Pourcentage de patients ayant obtenu un gain ≥ 15 lettres par rapport au début de l'étude, études FAME combinées
Lorsque l'efficacité a été évaluée en fonction de la durée de la maladie, une réponse bénéfique significative a été observée chez les patients dont l'ancienneté de l'OMD était supérieure à la médiane (≥ 3 ans), tandis que les patients chez lesquels la durée de l'OMD était plus courte n'ont pas présenté de bénéfice supplémentaire par rapport au traitement comparateur en termes d'amélioration de l'acuité visuelle (Figures 2 et 3). Ces données en sous‑groupes étayent l'indication dans le traitement d'OMD chronique (c'est‑à‑dire d'une durée d'au moins 3 ans) qui figure à la rubrique 4.1.
Figure 2 : Comparaison des pourcentages de patients ayant obtenu un gain ≥ 15 lettres de la meilleure acuité visuelle corrigée (MAVC) par rapport à l'entrée dans l'étude et variation moyenne de l'épaisseur centrale de la rétine excessive, par sous‑groupe en fonction de la durée de l'OMD ≥ 3 ans
Figure 3 : Comparaison de la variation moyenne de l'épaisseur centrale de la rétine excessive et pourcentage de patients ayant obtenu un gain ≥ 15 lettres de la MAVC par rapport à l'entrée dans l'étude et variation moyenne de l'épaisseur centrale de la rétine excessive, par sous‑groupe en fonction de la durée de l'OMD < 3 ans
Le registre de l'étude IRISS, étude de sécurité post‑autorisation d'une durée de 6 ans (M‑01-12-001), et comprenant les données de 556 patients (695 yeux), a été menée et n'a pas montré d'autres risques que ceux identifiés dans les études FAME.
Uvéite non infectieuse du segment postérieur
Le programme de développement d'ILUVIEN dans l'uvéite non infectieuse affectant le segment postérieur de l'œil comprend deux études de phase III visant à évaluer la sécurité et l'efficacité de 0,2 µg/jour d'acétonide de fluocinolone par rapport à une injection simulée sur une période de 36 mois.
Les deux études sont des études prospectives, randomisées, multicentriques, en double insu, contrôlée par injection simulée, réalisée sur 282 patients au total qui ont reçu un traitement unique par acétonide de fluocinolone (188 patients) ou une injection simulée (94 patients). Les critères d'éligibilité ont été conçus pour recruter des patients atteints de maladies récidivantes ou persistantes. Au début de l'étude, les caractéristiques oculaires des patients participant aux études sont présentées dans le tableau 2 :
Tableau 2 : Caractéristiques oculaires de l'œil étudié au début de l'étude(population en intention de traiter [ITT]) : PSV-FAI-001 et PSV-FAI-005
<table> <tbody><tr> <td colspan="5"> Population en ITT </td> </tr> <tr> <td> </td> <td colspan="2"> PSV-FAI-001 </td> <td colspan="2"> PSV-FAI-005 </td> </tr> <tr> <td> </td> <td> Insertion IAF (N=87) </td> <td> Injection simulée (N=42) </td> <td> Insertion IAF (N=101) </td> <td> Injection simulée (N=52) </td> </tr> <tr> <td> Lettres de MAVC, moyenne (ET) </td> <td> 66,9 (15,49) </td> <td> 64,9 (15,53) </td> <td> 66,4 (15,85) </td> <td> 63,6 (16,82) </td> </tr> <tr> <td> Gravité de la haze vitréen 0/0,5+ </td> <td> 48 (55,2) </td> <td> 21 (50,0) </td> <td> 37 (36,6) </td> <td> 14 (27,0) </td> </tr> <tr> <td> 1/2+ </td> <td> 39 (44,8) </td> <td> 21 (50,0) </td> <td> 64 (63,3) </td> <td> 38 (73,1) </td> </tr> <tr> <td> 3/4+ </td> <td> 0 </td> <td> 0 </td> <td> 0 </td> <td> 0 </td> </tr> <tr> <td> Cellules dans la chambre antérieure 0/0,5+ </td> <td> 77 (88,5) </td> <td> 33 (78,6) </td> <td> 93 (92,0) </td> <td> 49 (94,3) </td> </tr> <tr> <td> 1/2+ </td> <td> 10 (11,5) </td> <td> 9 (21,4) </td> <td> 8 (7,9) </td> <td> 3 (5,8) </td> </tr> <tr> <td> 3/4+ </td> <td> 0 </td> <td> 0 </td> <td> 0 </td> <td> 0 </td> </tr> <tr> <td> Pression intraoculaire (PIO) Moyenne (ET) </td> <td> 13,9 (3,12) </td> <td> 13,6 (3,15) </td> <td> 13,3 (3,07) </td> <td> 13,1 (2,60) </td> </tr> <tr> <td> Gravité de l'œdème maculaire (μm) CST < 300 </td> <td> 37 (42,5) </td> <td> 14 (33,3) </td> <td> 70 (69,3) </td> <td> 36 (69,2) </td> </tr> <tr> <td> CST ≥ 300 </td> <td> 48 (55,2) </td> <td> 27 (64,3) </td> <td> 30 (29,7) </td> <td> 14 (26,9) </td> </tr> </tbody></table>CST = central subfield thickness (épaisseur rétinienne dans la zone centrale) ; ET = écart type ; IAF = implant d'acétonide de fluocinolone ; MAVC = meilleure acuité visuelle corrigée
Les données sont des nombres (%) sauf indication contraire.
Le critère de jugement principal de l'efficacité était basé sur la proportion de patients ne présentant pas de récidive d'uvéite entre la randomisation et le 6ème mois, la récidive étant définie comme :
(a) une augmentation ≥2 grades du nombre de cellules par champs au fort grossissement par rapport au début de l'étude ou à toute visite avant 6 mois ;
(b) une augmentation du haze vitréen ≥ 2 grades par rapport au début de l'étude ou à toute visite avant 6 mois ;
(c) une perte de la meilleure acuité visuelle corrigée supérieure ou égale à 15 lettres par rapport au début de l'étude à toute visite avant le mois 6.
Tout critère utilisé pour définir la récidive devait être attribuable uniquement à une uvéite non infectieuse. Un patient n'ayant pas présenté précédemment de récidive telle qu'elle est définie en (a), (b), (c), et ayant pris un stéroïde systémique ou un immunosuppresseur, un stéroïde par injection intra/périoculaire ou un stéroïde topique dans l'œil étudié, à tout moment durantt l'étude et avant le 6 ème mois, a été considéré comme ayant présenté une récidive. La récidive pouvait être traitée à l'aide du traitement standard conformément aux critères définis dans le protocole.
Dans chaque essai clinique de phase III, le critère d'évaluation principal a été atteint. Les tableaux 3 et 4 présentent les résultats du critère de jugement principal d'efficacité comparant la proportion de récidives de l'uvéite dans l'œil de l'étude par rapport au témoin simulé. La figure 4 présente une comparaison du délai jusqu'à la récidive d'uvéite dans ces groupes de traitement.
Tableau 3 : Proportion de patients présentant une récidive d'uvéite dans l'œil étudié dans les 6 mois (population en ITT) : PSV-FAI-001 et PSV-FAI-005
<table> <tbody><tr> <td colspan="5"> Population en ITT </td> </tr> <tr> <td> </td> <td colspan="2"> PSV-FAI-001 </td> <td colspan="2"> PSV-FAI-005 </td> </tr> <tr> <td> </td> <td> Insertion IAF (N=87) </td> <td> Injection simulée (N=42) </td> <td> Insertion IAF (N=101) </td> <td> Injection simulée (N=52) </td> </tr> <tr> <td> Récidive dans les 6 mois, n (%) </td> <td> 24 (27,6) </td> <td> 38 (90,5) </td> <td> 26 (25,7%) </td> <td> 31 (59,6%) </td> </tr> <tr> <td> Aucune récidive dans les 6 mois, n (%) </td> <td> 63 (72,4) </td> <td> 4 (9,5) </td> <td> 75 (74,3%) </td> <td> 21 (40,4%) </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport à l'injection simulée </td> <td colspan="2"> </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> Odds ratio </td> <td colspan="2"> 24,94 </td> <td colspan="2"> 4,26 </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> 8,04, 77,39 </td> <td colspan="2"> 2,09, 8,67 </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> < 0,001 </td> <td colspan="2"> < 0,001 </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport à l'injection simulée </td> <td colspan="2"> </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> Différence en pourcentage </td> <td colspan="2"> 62,9% </td> <td colspan="2"> 33,9% </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> (50,0%, 75,8%) </td> <td colspan="2"> (18,0%, 49,7%) </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> < 0,001 </td> <td colspan="2"> < 0,001 </td> </tr> </tbody></table>L'Odds ratio et l'intervalle de confiance à 95 % sont basés sur la méthode de Mantel-Haenszel. La valeur p est issue d'un test du chi-2 avec correction de continuité comparant entre les groupes de traitement le nombre de patients présentant ou ne présentant pas de récidive d'uvéite à 6 mois.
La valeur p est issue d'un test du chi-2 de Cochran-Mantel-Haenszel pour mesurer l'association générale comparant entre les groupes de traitement le nombre de patients présentant ou ne présentant pas de récidive d'uvéite à 6 mois.
Tableau 4 : Proportion de patients présentant une récidive d'uvéite dans l'œil étudié dans les 6 mois (population en ITT) : regroupement des données des études Uvéite
<table> <tbody><tr> <td colspan="3"> Population en ITT </td> </tr> <tr> <td> </td> <td> Insertion IAF (N=188) </td> <td> Injection simulée (N=94) </td> </tr> <tr> <td> Récidive dans les 6 mois, n (%) </td> <td> 50 (26,6) </td> <td> 69 (73,4) </td> </tr> <tr> <td> Aucune récidive dans les 6 mois, n (%) </td> <td> 138 (73,4) </td> <td> 25 (26,6) </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport au témoin simulé1 </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> Odds ratio </td> <td colspan="2"> 7,62 </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> (4,35, 13,34) </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> < 0,001 </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport au témoin simulé </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> Différence en pourcentage </td> <td colspan="2"> 46,8 % </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> (35,9 %, 57,8 %) </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> < 0,001 </td> </tr> </tbody></table>L'Odds ratio et l'intervalle de confiance à 95 % sont basés sur la méthode de Mantel-Haenszel. La valeur p est issue d'un test du chi-2 avec correction de continuité comparant entre les groupes de traitement le nombre de patients présentant ou ne présentant pas de récidive d'uvéite à 6 mois.
La valeur p est issue d'un test du chi-2 de Cochran-Mantel-Haenszel pour mesurer l'association générale comparant entre les groupes de traitement le nombre de patients présentant ou ne présentant pas de récidive d'uvéite à 6 mois.
Figure 4 : Courbe de Kaplan-Meier du délai jusqu'aux premières récidives d'uvéite dans l'œil étudié dans les 6 mois (population en ITT) : regroupement des données des études Uvéite
La valeur p (p < 0,001) comparant les deux distributions du délai de récidive d'uvéite est basée sur un test de type log-rank.
Dans la population en ITT, la récidive d'uvéite dans l'œil étudié rapportée à 6 mois était sensiblement (p < 0,001) inférieure dans le groupe ILUVIEN (37,9 %) par rapport au groupe injection simulée (97,6 %) ; l'Odds ratio pour la différence par rapport à l'injection simulée était 67,09 (IC à 95 % : 8,81- 511,06).
La persistance de l'efficacité a été démontrée par les résultats à 36 mois de l'étude de phase III initiée en premier (PSV-FAI-001) (voir le tableau présentant les résultats du critère d'évaluation principal de l'étude PSV-FAI-001 comparant la proportion de récidives d'uvéite dans l'œil étudié par rapport au témoin simulé et la figure relative à la comparaison du délai de la récidive d'uvéite dans ces groupes de traitement).
Tableau 5 : Proportion de patients présentant une récidive d'uvéite dans l'œil étudié dans les 36 mois (population en ITT) : PSV-FAI-001
<table> <tbody><tr> <td colspan="3"> Population en ITT </td> </tr> <tr> <td> </td> <td> Insertion IAF (N=87) </td> <td> Injection simulée (N=42) </td> </tr> <tr> <td> Récidive dans les 36 mois, n (%) </td> <td> 57 (65,5 %) </td> <td> 41 (97,6 %) </td> </tr> <tr> <td> Aucune récidive dans les 36 mois, n (%) </td> <td> 30 (34,5 %) </td> <td> 1 (2,4 %) </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport au témoin simulé1 </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> Odds ratio </td> <td colspan="2"> 21,58 </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> (2,83, 164,70) </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> < 0,001 </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport au témoin simulé </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> Différence en pourcentage </td> <td colspan="2"> 32,1 % </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> (21,1 %, 43,1 %) </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> < 0,001 </td> </tr> </tbody></table>L'Odds ratio et l'intervalle de confiance à 95 % sont basés sur la méthode de Mantel-Haenszel. La valeur p est issue d'un test du chi-2 avec correction de continuité comparant entre les groupes de traitement le nombre de patients présentant ou ne présentant pas de récidive d'uvéite à 36 mois.
La valeur p est issue d'un test du chi-2 de Cochran-Mantel-Haenszel pour mesurer l'association générale comparant entre les groupes de traitement le nombre de patients présentant ou ne présentant pas de récidive d'uvéite à 36 mois.
Figure 5 : Courbe de Kaplan-Meier du délai jusqu'aux premièresrécidives d'uvéite dans l'œil étudié dans les 36 mois (population en ITT) : PSV-FAI-001
Dans la population en ITT, la récidive d'uvéite dans l'œil étudié dans les 36 mois était significativement inférieure (p < 0,001) dans le groupe ILUVIEN par rapport au groupe de injection simulée.
Tableau 6 : Nombre de récidives d'uvéite dans l'œil étudié dans les 6 mois (population en ITT) : PSV-FAI-001 et PSV-FAI-005
<table> <tbody><tr> <td colspan="5"> Population en ITT </td> </tr> <tr> <td> </td> <td colspan="2"> PSV-FAI-001 </td> <td colspan="2"> PSV-FAI-005 </td> </tr> <tr> <td> </td> <td> Insertion IAF (N=87) </td> <td> Injection simulée (N=42) </td> <td> Insertion IAF (N=101) </td> <td> Injection simulée (N=52) </td> </tr> <tr> <td> Nombre totale de récidives </td> <td> 36 </td> <td> 70 </td> <td> 59 </td> <td> 53 </td> </tr> <tr> <td> Nombre de patients présentant au moins une récidive </td> <td> 24 </td> <td> 38 </td> <td> 26 </td> <td> 31 </td> </tr> <tr> <td> Nombre de récidives par patient </td> <td colspan="2"> </td> <td> </td> <td> </td> </tr> <tr> <td> N </td> <td> 87 </td> <td> 42 </td> <td> 101 </td> <td> 52 </td> </tr> <tr> <td> Moyenne (ET) </td> <td> 0,4 (0,76) </td> <td> 1,7 (1,07) </td> <td> 0,6 (1,34) </td> <td> 1,0 (1,21) </td> </tr> <tr> <td> Médiane </td> <td> 0,0 </td> <td> 1,0 </td> <td> 0,0 </td> <td> 1,0 </td> </tr> <tr> <td> Minimum, maximum </td> <td> (0,3) </td> <td> (0,5) </td> <td> (0,9) </td> <td> (0,6) </td> </tr> <tr> <td> 0 </td> <td> 63 (72,4 %) </td> <td> 4 (9,5 %) </td> <td> 75 (74,3 %) </td> <td> 21 (40,4 %) </td> </tr> <tr> <td> 1 </td> <td> 14 (16,1 %) </td> <td> 18 (42,9 %) </td> <td> 12 (11,9 %) </td> <td> 18 (34,6 %) </td> </tr> <tr> <td> 2 </td> <td> 8 (9,2 %) </td> <td> 10 (23,8 %) </td> <td> 4 (4,0 %) </td> <td> 8 (15,4 %) </td> </tr> <tr> <td> 3 </td> <td> 2 (2,3 %) </td> <td> 9 (21,4 %) </td> <td> 7 (6,9 %) </td> <td> 3 (5,8 %) </td> </tr> <tr> <td> 4 </td> <td> 0 (0,0 %) </td> <td> 0 (0,0 %) </td> <td> 1 (1,0 %) </td> <td> 1 (1,9 %) </td> </tr> <tr> <td> 5 </td> <td> 0 (0,0 %) </td> <td> 1 (2,4 %) </td> <td> 1 (1,0 %) </td> <td> 0 (0,0 %) </td> </tr> <tr> <td> >5 </td> <td> 0 (0,0 %) </td> <td> 0 (0,0 %) </td> <td> 1 (1,0 %) </td> <td> 1 (1,9 %) </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport au témoin simulé </td> <td colspan="2"> </td> <td> </td> <td> </td> </tr> <tr> <td> Estimation </td> <td colspan="2"> -1,3 </td> <td colspan="2"> -0,4 </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> (-1,62, -0,88) </td> <td colspan="2"> (-0,87, 0,00) </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> < 0,001 </td> <td colspan="2"> 0,051 </td> </tr> </tbody></table>La valeur p est issue d'une analyse de variance à un facteur avec le groupe de traitement comme effet fixe comparant le nombre moyen de récidives d'uvéite dans les 36 mois.
Tableau 7 : Nombre de récidives d'uvéite dans l'œil étudié dans les 36 mois (population en ITT) : PSV-FAI-001
<table> <tbody><tr> <td colspan="3"> Population en ITT </td> </tr> <tr> <td> </td> <td> Insertion IAF (N=87) </td> <td> Injection simulée (N=42) </td> </tr> <tr> <td> Nombre total de récidives </td> <td> 149 </td> <td> 223 </td> </tr> <tr> <td> Nombre de patients présentant au moins une récidive </td> <td> 57 </td> <td> 41 </td> </tr> <tr> <td> Nombre de récidives par patient </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> N </td> <td> 87 </td> <td> 42 </td> </tr> <tr> <td> Moyenne (ET) </td> <td> 1,7 (2,42) </td> <td> 5,3 (3,84) </td> </tr> <tr> <td> Médiane </td> <td> 1,0 </td> <td> 5,0 </td> </tr> <tr> <td> Minimum, maximum </td> <td> (0,15) </td> <td> (0,15) </td> </tr> <tr> <td> 0 </td> <td> 30 (34,5 %) </td> <td> 1 (2,4 %) </td> </tr> <tr> <td> 1 </td> <td> 29 (33,3 %) </td> <td> 5 (11,9 %) </td> </tr> <tr> <td> 2 </td> <td> 7 (8,0 %) </td> <td> 7 (16,7 %) </td> </tr> <tr> <td> 3 </td> <td> 8 (9,2 %) </td> <td> 4 (9,5 %) </td> </tr> <tr> <td> 4 </td> <td> 4 (4,6 %) </td> <td> 3 (7,1 %) </td> </tr> <tr> <td> 5 </td> <td> 2 (2,3 %) </td> <td> 5 (11,9 %) </td> </tr> <tr> <td> >5 </td> <td> 7 (8,0 %) </td> <td> 17 (40,5 %) </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport au témoin simulé </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> Estimation </td> <td colspan="2"> -3,6 </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> (-4,89, -2,30) </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> < 0,001 </td> </tr> </tbody></table>La valeur p est issue d'une analyse de variance à un facteur avec le groupe de traitement comme effet fixe comparant le nombre moyen de récidives d'uvéite dans les 36 mois.
Les patients traités par ILUVIEN ont présenté significativement moins de récidives dans les 36 mois que les patients ayant reçu l'injection simulée (1,7 récidives par rapport à 5,3 récidives, respectivement, p < 0,001).
Tableau 8 : Nombre de traitements complémentaires de l'uvéite dans l'œil étudié dans les 6 mois (population en ITT) : PSV-FAI-001 et PSV-FAI-005
<table> <tbody><tr> <td colspan="5"> Population en ITT </td> </tr> <tr> <td> </td> <td colspan="2"> PSV-FAI-001 </td> <td colspan="2"> PSV-FAI-005 </td> </tr> <tr> <td> </td> <td> Insertion IAF (N=87) </td> <td> Injection simulée (N=42) </td> <td> Insertion IAF (N=101) </td> <td> Injection simulée (N=52) </td> </tr> <tr> <td> Stéroïdes systémiques ou immunosuppresseur </td> <td> </td> <td> </td> <td> </td> <td> </td> </tr> <tr> <td> Nombre total de récidives </td> <td> 21 </td> <td> 24 </td> <td> 25 </td> <td> 14 </td> </tr> <tr> <td> Nombre de patients présentant au moins une récidive </td> <td> 13 (14,9 %) </td> <td> 16 (38,1 %) </td> <td> 14 (13,9 %) </td> <td> 11 (21,2 %) </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport au témoin simulé </td> <td colspan="2"> </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> Différence en pourcentage </td> <td colspan="2"> 23,2 % </td> <td colspan="2"> 7,3 % </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> (6,7 %, 39,6 %) </td> <td colspan="2"> (-5,7 %, 20,3 %) </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> 0,003 </td> <td colspan="2"> 0,249 </td> </tr> <tr> <td> Injection intra/périoculaire de stéroïde </td> <td colspan="2"> </td> <td> </td> <td> </td> </tr> <tr> <td> Nombre total de récidives </td> <td> 5 </td> <td> 35 </td> <td> 2 </td> <td> 19 </td> </tr> <tr> <td> Nombre de patients présentant au moins une récidive </td> <td> 5 (5,7 %) </td> <td> 24 (57,1 %) </td> <td> 2 (2 %) </td> <td> 19 (36,5 %) </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport au témoin simulé </td> <td colspan="2"> </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> Différence en pourcentage </td> <td colspan="2"> 51,4 % </td> <td colspan="2"> 34,6 % </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> (35,7 %, 67,1 %) </td> <td colspan="2"> (21,2 %, 47,9 %) </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> < 0,001 </td> <td colspan="2"> < 0,001 </td> </tr> <tr> <td> Stéroïde topique </td> <td colspan="2"> </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> Nombre total de récidives </td> <td> 17 </td> <td> 22 </td> <td> 11 </td> <td> 17 </td> </tr> <tr> <td> Nombre de patients présentant au moins une récidive </td> <td> 15 (17,2 %) </td> <td> 18 (42,9 %) </td> <td> 10 (9,9 %) </td> <td> 12 (23,1 %) </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport au témoin simulé </td> <td colspan="2"> </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> Différence en pourcentage </td> <td colspan="2"> 25,6 % </td> <td colspan="2"> 13,2 % </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> (8,7 %, 42,6 %) </td> <td colspan="2"> (0,3 %, 26,0 %) </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> 0,002 </td> <td colspan="2"> 0,028 </td> </tr> </tbody></table>La valeur p est issue d'un test du chi-2 de Cochran-Mantel-Haenszel pour mesurer l'association générale comparant entre les groupes de traitement le nombre de patients ayant reçu ou pas de traitement complémentaire.
Tableau 9 : Nombre de traitements complémentaires de l'uvéite dans l'œil étudié dans les 36 mois (population en ITT) : PSV-FAI-001
<table> <tbody><tr> <td colspan="3"> Population en ITT </td> </tr> <tr> <td> </td> <td> Insertion IAF (N=87) </td> <td> Injection simulée (N=42) </td> </tr> <tr> <td> Stéroïdes systémiques ou immunosuppresseur </td> <td> </td> <td> </td> </tr> <tr> <td> Nombre total de récidives </td> <td> 61 </td> <td> 45 </td> </tr> <tr> <td> Nombre de patients présentant au moins une récidive </td> <td> 30 (34,5 %) </td> <td> 21 (50,0 %) </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport au témoin simulé </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> Différence en pourcentage </td> <td colspan="2"> 15,5 % </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> (-2,6 %, 33,6 %) </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> 0,092 </td> </tr> <tr> <td> Injection intra/périoculaire de stéroïde </td> <td colspan="2"> </td> </tr> <tr> <td> Nombre total de récidives </td> <td> 23 </td> <td> 99 </td> </tr> <tr> <td> Nombre de patients présentant au moins une récidive </td> <td> 17 (19,5 %) </td> <td> 29 (69,0 %) </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport au témoin simulé </td> <td> </td> <td> </td> </tr> <tr> <td> Différence en pourcentage </td> <td colspan="2"> 49,5 % </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> (33,2 %, 65,8 %) </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> < 0,001 </td> </tr> <tr> <td> Stéroïde topique </td> <td> </td> <td> </td> </tr> <tr> <td> Nombre total de récidives </td> <td> 40 </td> <td> 47 </td> </tr> <tr> <td> Nombre de patients présentant au moins une récidive </td> <td> 24 (27,6 %) </td> <td> 24 (57,1 %) </td> </tr> <tr> <td> Différence par rapport au témoin simulé </td> <td> </td> <td> </td> </tr> <tr> <td> Différence en pourcentage </td> <td colspan="2"> 29,6 % </td> </tr> <tr> <td> IC à 95 % </td> <td colspan="2"> (11,9 %, 47,2 %) </td> </tr> <tr> <td> Valeur p </td> <td colspan="2"> 0,001 </td> </tr> </tbody></table>La valeur p est issue d'un test du chi-2 de Cochran-Mantel-Haenszel pour mesurer l'association générale comparant entre les groupes de traitement le nombre de patients ayant reçu ou pas de traitement complémentaire.
Significativement moins de patients traités par ILUVIEN que de patients ayant reçu l'injection simulée ont eu besoin de stéroïdes complémentaires par injection intra/périoculaire (19,5 % par rapport à 69,0 % respectivement, p<0.001) ou de stéroïdes topiques complémentaires (27,6 % par rapport à 57,1 % respectivement, p = 0,001).
Moins de patients ont eu besoin de stéroïdes systémiques complémentaires ou d'un traitement immunosuppresseur complémentaire (34,5 % par rapport à 50,0 % respectivement, p = 0,092).
L'Agence européenne des médicaments a accordé une dérogation à l'obligation de soumettre les résultats d'études réalisées avec l'acétonide de fluocinolone administré par voie intravitréenne dans tous les sous‑groupes de la population pédiatrique dans le traitement de l'œdème maculaire diabétique (voir rubrique 4.2 pour les informations concernant l'usage pédiatrique).
Source : BDPM
Effets indésirables
augmentation de la pression intraoculaire
cataracte
cataracte nucléaire
cataracte sous-capsulaire
opération de la cataracte
Source : ANSM
Liste des spécialités disponibles
Source : BDPM
Testez Posos gratuitement
Voir les risques d'une prescription
Trouver des alternatives thérapeutiques
Identifiez l'origine d'un effet indésirable