Cyclophosphamide 500 mg poudre pour solution injectable/pour perfusion
Informations générales
Substance
Forme galénique
Poudre pour solution injectable/pour perfusion
Voies d'administration
Voie intramusculaire, Voie intraveineuse
Source : ANSM
Indications et autres usages documentés
- adénocarcinome du sein
- cancer bronchopulmonaire
- cancer de l'ovaire
- cancer de la vessie
- carcinome embryonnaire testiculaire
- conditionnement avant la transplantation de cellules souches hématopoïétiques
- granulomatose de Wegener
- leucémie aiguë lymphoblastique
- lupus érythémateux systémique
- lymphome hodgkinien
- lymphome non-hodgkinien
- myélome multiple
- neuroblastome
- néphropathie auto-immune
- polyarthrite rhumatoïde
- sarcome
Source : ANSM
Posologie
Le cyclophosphamide doit être administré uniquement sous le contrôle d'un médecin qualifié dans l'utilisation des chimiothérapies anticancéreuses.
Posologie
La posologie du cyclophosphamide, la durée du traitement et/ou des intervalles thérapeutiques sont fonction de l'indication thérapeutique (traitement antitumoral ou immunodépresseur, type et localisation de la tumeur, traitement initial ou d'entretien) et de la place du médicament dans le traitement entrepris (utilisé seul ou en association avec d'autres médicaments cytostatiques). Elle est individuelle et doit tenir compte de l'état clinique et hématologique du patient (voir rubrique 4.4).
Le cyclophosphamide injectable est habituellement utilisé à des doses moyennes de 150 à 1200 mg/m chez l'enfant et de 500 à 4000 mg/m chez l'adulte, toutes les 3 à 4 semaines, administrées :
-
sur 1 à 3 jours à chaque cycle,
-
ou en deux injections à 7 jours d'intervalle.
En association avec d'autres cytostatiques de toxicité similaire, il peut être nécessaire de réduire la posologie ou de prolonger l'intervalle entre deux cycles.
L'utilisation d'agents stimulant l'hématopoïèse (facteurs de croissance granulocytaire et facteurs de croissance de l'érythropoïèse) doit être envisagée pour réduire le risque de complications liées à la myélosuppression et/ou faciliter l'administration de la posologie voulue.
Dans la mesure où le cyclophosphamide est activé par métabolisme hépatique, celui-ci est administré de préférence par voie orale ou intraveineuse.
Patients présentant une insuffisance rénale
Le cyclophosphamide et ses métabolites sont dialysables, bien qu'il puisse exister des différences de clairance en fonction du système de dialyse utilisé. Chez les patients requérant une dialyse, il convient de laisser un intervalle conséquent entre l'administration du cyclophosphamide et la dialyse. Voir rubrique 4.4.
Patients âgés :
Chez les sujets âgés, la prise en charge des toxicités et la nécessité d'ajuster la posologie doivent prendre en compte l'incidence plus élevée de troubles de la fonction hépatique, rénale, cardiaque ou d'autres organes, de maladies concomitantes ou de changement de traitements médicamenteux dans cette population.
Mode d'administration
Avant administration, les médicaments à usage parentéral doivent être inspectés visuellement pour mettre en évidence l'absence de particules et d'une décoloration, dès lors que la solution et le contenant le permettent.
Afin de préparer une solution isotonique prête à l'emploi, la poudre doit être dissoute dans une solution de chlorure de sodium 0,9% de manière à amener la concentration à 1 g pour 50 ml. En cas de besoin, elle peut également être dissoute dans une solution de Ringer ou une solution glucosée à 5%. La solution reconstituée ne doit pas dépasser une concentration de 2 %.
La voie d'administration habituelle est la voie veineuse en perfusion courte (30 minutes à 2 heures). La perfusion sur 24 heures est également possible. L'administration du cyclophosphamide doit s'effectuer très lentement afin de réduire le risque d'effets indésirables qui semblent dépendants du rythme d'administration (par exemple, œdème facial, céphalées, congestion nasale, brûlures du cuir chevelu). La durée de la perfusion est fonction du volume et du type de liquide à perfuser.
Le médicament préalablement reconstitué dans une solution de chlorure de sodium 0,9% est introduit dans le liquide de perfusion (solution injectable isotonique de glucose ou de chlorure de sodium). Le médicament doit être complètement dissout avant administration parentérale.
Il est recommandé d'associer l'administration d'Uromitexan (Mesna) à partir de 600 mg/m/j et/ou d'assurer une hydratation suffisante (absorption ou perfusion) pendant ou immédiatement après la prise du traitement pour réaliser une diurèse forcée et prévenir ainsi le risque de toxicité des voies urinaires. Pour cette raison, l'administration du cyclophosphamide doit s'effectuer le matin. Voir rubrique 4.4.
Dans certains cas (capital veineux altéré), la voie intramusculaire peut être utilisée sans dépasser la dose de 500 mg par injection pour des raisons de volume. Le cyclophosphamide doit alors être reconstitué avec du sérum physiologique (chlorure de sodium à 0.9 %). La solution de cyclophosphamide reconstituée avec de l'eau est hypotonique et ne doit pas être administrée directement.
En cas d'extravasation, l'administration sera interrompue immédiatement (voir rubrique 4.9).
Modalités de manipulation
La préparation des solutions injectables de cytotoxiques doit être obligatoirement réalisée par un personnel spécialisé et entraîné ayant une connaissance des médicaments utilisés, dans des conditions assurant la protection de l'environnement et surtout la protection du personnel qui manipule. Elle nécessite un local de préparation réservé à cet usage. Il est interdit de fumer, de manger, de boire dans ce local. Les manipulateurs doivent disposer d'un ensemble de matériel approprié à la manipulation, notamment blouses à manches longues, masque de protection, calot, lunettes de protection, gants à usage unique stériles, champs de protection du plan de travail, conteneurs et sacs de collecte des déchets. Les excrétas et les vomissures doivent être manipulés avec précaution. Les femmes enceintes doivent être averties et éviter la manipulation des cytotoxiques. Tout contenant cassé doit être traité avec les mêmes précautions et être considéré comme un déchet contaminé. L'élimination des déchets contaminés se fait par incinération dans des conteneurs rigides étiquetés à cet effet.
Ces dispositions peuvent être envisagées dans le cadre du réseau de cancérologie (circulaire DGS/DH/98 n° 98/188 du 24 mars 1998) en collaboration avec toute structure adaptée et remplissant les conditions requises.
Source : BDPM
Contre-indications
Allaitement
Cystite hémorragique
Femme en âge de procréer
Grossesse
Infection urinaire
Insuffisance médullaire
Leucopénie
Obstruction des voies urinaires
Thrombopénie
Source : ANSM
Interactions
cyclophosphamide <> millepertuisContre-indication
cytotoxiques <> vaccins vivants atténuésContre-indication
cyclophosphamide <> inducteurs enzymatiquesAssociation DECONSEILLEE
cyclophosphamide <> pentostatineAssociation DECONSEILLEE
cytotoxiques <> olaparibAssociation DECONSEILLEE
cytotoxiques <> phénytoïne (et, par extrapolation, fosphénytoïne)Association DECONSEILLEE
cytotoxiques <> antivitamines KPrécaution d'Emploi
cytotoxiques <> flucytosineA prendre en compte
cytotoxiques <> immunosuppresseursA prendre en compte
Source : Thesaurus
Fertilité, grossesse et allaitement
Contraception chez les hommes et les femmes
En raison du risque tératogène du cyclophosphamide et du potentiel génotoxique et mutagène, les femmes ne doivent pas débuter de grossesse et les hommes ne doivent pas concevoir pendant le traitement par cyclophosphamide. Les patients des deux sexes en période d'activité génitale doivent utiliser une contraception efficace. Chez les femmes en âge de procréer, l'absence de grossesse doit être vérifiée avant l'administration de cyclophosphamide (voir rubrique 4.4).
Les hommes ne doivent pas concevoir d'enfant pendant les 6 mois qui suivent la fin du traitement. Les données chez l'animal indiquent que l'exposition des ovocytes pendant le développement folliculaire peut réduire le taux d'implantations et de grossesses viables et augmenter le risque de malformation fœtale. Cet effet doit être pris en compte lorsqu'une fertilisation ou une grossesse est envisagée après l'arrêt du traitement par cyclophosphamide. La durée exacte du développement folliculaire humain n'est pas connue, mais peut être supérieure à 12 mois.
Grossesse
Les études effectuées chez l'animal, sur plusieurs espèces, ont mis en évidence un effet tératogène et embryolétal du cyclophosamide (voir rubrique 5.3). Le cyclophosphamide traverse la barrière placentaire. Le cyclophosphamide a un effet génotoxique et peut être nocif pour le fœtus lorsqu'il est administré à des femmes enceintes.
En clinique, des cas de malformations avec un tableau malformatif assez homogène (anomalies de membres, atteintes de l'œil, craniosténoses, dysmorphies faciales, atteintes du système nerveux central à type d'hydrocéphalie et microcéphalie) ainsi qu'un retard de croissance intra-utérin et staturo-pondéral ont été rapportés après exposition au cours de la grossesse, même lorsque le cyclophosphamide était utilisé comme immunosuppresseur. Des cas de morts intra-utérines ont été rapportés chez des femmes enceintes traitées par cyclophosphamide.
Des effets fœtotoxiques d'ordre hématologique ont été rapportés chez le nouveau-né (dont une anémie, une leucopénie, une thrombopénie, voire une pancytopénie ou une hypoplasie médullaire sévère) ainsi que des troubles respiratoires à la naissance Il existe également un risque théorique de toxicité cardiaque (troubles du rythme, insuffisance cardiaque). Il est donc conseillé, chaque fois que cela est possible, de programmer la naissance, au moins 3 semaines après la dernière cure, et de réaliser une surveillance néonatale (en particulier hématologique et cardiaque).
Les données issues de modèles animaux suggèrent que la majoration du risque de fausses couches et de malformations persiste à l'arrêt du cyclophosphamide, tant qu'il existe des ovocytes/follicules ayant été exposés au cyclophosphamide pendant leurs phases de maturation. Voir rubrique 4.4, Génotoxicité.
Par conséquent, le cyclophosphamide est contre-indiqué chez la femme enceinte et chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas de contraception efficace. Ainsi, à l'instauration du traitement :
-
les patientes doivent être informées du risque pour le fœtus en cas d'exposition au cours de la grossesse ;
-
il importe de vérifier par un test de grossesse, l'absence de grossesse avant l'administration de cyclophosphamide ;
-
les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace. En raison du potentiel génotoxique, l'homme traité (ou sa partenaire) doit utiliser une contraception efficace.
En cas de suspicion ou de survenue de grossesse au cours du traitement ou après le traitement (voir rubrique 4.4), il convient d'informer la patiente des effets que peut engendrer le traitement sur le fœtus, et de l'orienter vers un médecin spécialiste ou expérimenté en tératologie pour évaluation et conseil. En cas de poursuite de la grossesse, un dépistage prénatal spécialisé, ciblé sur les malformations décrites avec le cyclophosphamide est nécessaire ; ainsi qu'une surveillance néonatale (en particulier hématologique et cardiaque).
Allaitement
En raison du passage du cyclophosphamide dans le lait maternel et de la survenue possible d'effets indésirables graves pour le nouveau-né (plusieurs cas de neutropénie, de thrombocytopénie, de diminution du taux d'hémoglobine et de diarrhée ont été rapportés chez des enfants nourris au sein par des femmes traitées par le cyclophosphamide), l'allaitement est contre-indiqué.
Fertilité
Le cyclophosphamide interfère avec l'ovogenèse et la spermatogenèse. Il peut être à l'origine d'une stérilité pour les deux sexes. L'apparition éventuelle d'une stérilité semble dépendre de la dose de cyclophosphamide, de la durée du traitement et de l'âge des patientes à l'initiation du traitement. La stérilité induite par le cyclophosphamide peut être irréversible chez certains patients. Les patients traités par cyclophosphamide doivent être informés de ces risques et de la possibilité de conservation des gamètes avant l'initiation du traitement.
Femmes
Les études montrent qu'un pourcentage important des patientes traitées par cyclophosphamide présente des troubles de la fonction ovarienne, notamment une oligoménorrhée ou une aménorrhée transitoire ou permanente associée à une réduction de la sécrétion d'œstrogènes et à une augmentation de la sécrétion de gonadotrophine (insuffisance ovarienne prématurée) (voir rubrique 4.4).
Hommes
Les études montrent qu'un pourcentage important de patients traités par cyclophosphamide présente une oligozoospermie ou une azoospermie, qui peuvent être associées à une augmentation de la sécrétion de la gonadotrophine mais à une sécrétion normale de testostérone. Un certain degré d'atrophie testiculaire peut être observé (voir rubrique 4.4).
Source : BDPM
Propriétés pharmacologiques
Agent alkylant : Moutarde à l'azote, code ATC : L01AA01 (L : Antinéoplasique et immunomodulateur).
Agent alkylant bifonctionnel de type oxazaphosphorine appartenant à la famille des moutardes azotées agissant après transformation dans l'organisme.
Le cyclophosphamide agit par interaction directe sur l'ADN en formant des liaisons covalentes avec les substrats nucléophiles par l'intermédiaire de ses radicaux alcoyles. Ceci entraîne des modifications profondes chimiques ou enzymatiques de l'ADN ainsi que la formation de "ponts" alcoyles intrabrins ou interbrins, avec pour conséquence une inhibition de la transcription et de la réplication de l'ADN aboutissant à la destruction cellulaire. Cette action est cycle dépendante, elle respecte les cellules en G0.
Immunodépresseur.
Source : BDPM
Effets indésirables
acouphène
affection unguéale
agranulocytose
alanine aminotransférase augmentée
alopécie
altération de la couleur cutanée
altération de la couleur unguéale
altération de la fonction hépatique
altération de la vision
alvéolite allergique
aménorrhée
anorexie
anémie
arrêt cardiocirculatoire
arthralgie
arythmie supraventriculaire
arythmie ventriculaire
ascite
asthénie
atrophie testiculaire
augmentation de l'aspartate aminotransférase (ASAT)
augmentation de l'urémie
augmentation de la créatininémie
augmentation de la gamma-glutamyltransférase
augmentation de la lactate déshydrogénase sanguine
augmentation de la phosphatase alcaline sanguine
augmentation de la protéine C-réactive
augmentation des enzymes hépatiques
azoospermie
bouffée de chaleur
bouffée vasomotrice
bradycardie
bronchiolite oblitérante
bronchospasme
cancer de l'uretère
cancer de la thyroïde
cancer de la vessie
cancer du bassinet
carcinome à cellules rénales
cardiomyopathie
cardite
cellule épithéliale atypique de la vessie urinaire
choc anaphylactique
choc cardiogénique
choc septique
cholestase
coagulation intravasculaire disséminée
colite
congestion nasale
conjonctivite
constipation
convulsion
cystite
cystite hémorragique
cystite ulcéreuse
céphalée
dermatite
dermite radio-induite
diabète insipide néphrogénique
diarrhée
diminution de l'hémoglobine
diminution de la fraction d'éjection
diminution de la pression artérielle
diminution des estrogènes sanguins
diminution des taux sanguins de gonadotrophines
douleur
douleur abdominale
douleur au site de perfusion
douleur oropharyngée
douleur thoracique
dysesthésie
dysfonction ventriculaire gauche
dysgueusie
dyspnée
décès intra-utérin
défaillance multiviscérale
détresse respiratoire
détérioration générale de l'état de santé
effet carcinogène sur la descendance
embolie pulmonaire
encéphalopathie
encéphalopathie hépatique
entérite
entérocolite hémorragique
fatigue
fibrillation auriculaire
fibrillation ventriculaire
fibrose pulmonaire
fibrose vésicale
frisson
gastro-entérite
granulocytopénie
gêne abdominale
gêne nasale
hyperbilirubinémie
hyperglycémie
hyperhidrose
hypersensibilité
hypersécrétion lacrymale
hypertension artérielle
hypertension pulmonaire
hypoesthésie
hypoglycémie
hypogueusie
hyponatrémie
hypotension artérielle
hypoxie
hématurie
hémorragie
hémorragie gastro-intestinale
hémorragie myocardique
hépatite
hépatite cholestatique
hépatite cytolytique
hépatite virale
hépatomégalie
hépatotoxicité
ictère
immunodépression
infarctus du myocarde
infection bactérienne
infection parasitaire
infection protozoaire
infection virale
infection à Pneumocystis jirovecii
inflammation au site de perfusion
inflammation du cæcum
inflammation muqueuse
insuffisance cardiaque
insuffisance cardiaque congestive
insuffisance hépatique
insuffisance médullaire
insuffisance ovarienne
insuffisance respiratoire
insuffisance rénale
insuffisance ventriculaire gauche
intoxication par l'eau
ischémie périphérique
leucoencéphalopathie multifocale progressive
leucopénie
leucémie
leucémie aiguë promyélocytaire
leucémie myéloïde
lymphome
lymphome non hodgkinien
lymphopénie
maladie hépatique veino-occlusive
maladie veino-occlusive pulmonaire
malaise
malformation fœtale
microangiopathie thrombotique
myalgie
mycose
myocardite
myélopathie
myélosuppression
nausée
neuropathie périphérique
neurotoxicité
neutropénie
neutropénie fébrile
nécrose au site de perfusion
nécrose tubulaire rénale
nécrose vésicale
néphropathie toxique
névralgie
oligoménorrhée
oligospermie
palpitation
pancréatite
pancytopénie
paresthésie
parosmie
parotidite
phlyctène
phlébite au site de perfusion
pneumonie
pneumonie organisée
pneumopathie
pneumopathie interstitielle
polyneuropathie
progression d'une tumeur maligne
prolongation de l'intervalle QT
prurit
péricardite
rash
retard de croissance intra-utérin
rhabdomyolyse
rhinorrhée
réaction anaphylactique
réaction anaphylactoïde
réaction au site d'injection
réaction liée à la perfusion
réactivation d'une infection
rétention hydrique
sarcome
sclérodermie
sepsis
spasticité musculaire
stomatite
strongyloïdose
stérilité
surdité
syndrome de Lyell
syndrome de Stevens-Johnson
syndrome de détresse respiratoire aiguë
syndrome de lyse tumorale
syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible
syndrome grippal
syndrome hémolytique et urémique
syndrome myélodysplasique
sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique
tachycardie
tachycardie ventriculaire
tamponnade cardiaque
thrombocytopénie
thrombose au site d'injection
thrombose veineuse
toux
toxicité fœtale
travail prématuré
tremblement
trouble de l'ovulation
trouble des tubules rénaux
trouble ovarien
trouble rénal
tuberculose
tumeur secondaire
ulcération muqueuse
urticaire
urétérite hémorragique
vasculite
vertige
vessie contractée
vision trouble
vomissement
zona
épanchement pleural
épanchement péricardique
éruption cutanée toxique
érythrodysesthésie palmo-plantaire
érythème
érythème au site de perfusion
érythème polymorphe
état confusionnel
état fébrile
éternuement
œdème
œdème au site de perfusion
œdème facial
œdème pulmonaire
Source : ANSM
Liste des spécialités disponibles
- Commercialisé
CYCLOPHOSPHAMIDE SANDOZ 500 mg, poudre pour solution injectable ou pour perfusion
- Commercialisé
ENDOXAN 500 mg, poudre pour solution injectable
Source : BDPM
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